- Les Dits Modernes (1919)
« Revue d’art, de littérature et de critique »
(Paris) Vienne (99e R.I., Isère). In-8 (245x ).
Dir. (Correspondant) : Fernand Demeure
Un numéro unique (août 1919)
Part. : Guillaume Apollinaire, Paul Blanchard, Charles Conrardy, Fernand Demeure, Robert Desnos, Ernest Fornairon, Germonde, René Morand, Pierre Reverdy, Jules Supervielle, …
Bibl. : [ISSN : / .
- Admussen, n° 80, p. 47-48
- Anne Egger, Robert Desnos, Fayard, 2007, p. 71
[BLJD : K-I-12] [Arsenal : 8-JO-23676] [BnF : RES P- Z- 1846 / JO- 82460]
- Les Dits Modernes, n° 1, août 1919 [32 p.]
Les Dits Modernes, Glose prémonitoire (p. 1-3),
« Notre grand ami, M. Louis Latourette, nous avait promis un "Evangile de Judas", mais ses occupations ne lui ont point permis de le terminer à temps. Nous le publierons dans nos prochains numéros ».
Guillaume Apollinaire, Quelques billets (p. 3-6),
Pierre Reverdy, Sans tourner la tête (p. 6),
Germonde, Les jardins suspendus [Juin 1919] (p. 7),
Jules Supervielle, "Laforgue, furtif nourricier…" / Laforgue « Écoute, pauvre Supervielle, mis tu n’as ni lyre ni veille (p. 7-8),
René Morand, Heures (p. 8-11),
Ernest Fornairon, Sylvandre (p. 12-18),
Fernand Demeure, Les Proses : L’Atlantide de Pierre Benoit Charles Maurras par ses amis / Contes de l’arrière de Raoul Stoupan / L’appel du bonheur par M. Rosny / Carnaval macabre par Paul Emile Cadilhac (p. 18-22),
Ernest Fornairon, M. Paul-Emile de Cadilhac, qui connut les collaudations des bascochiens de Montpellier… (p. 23-24),
Paul Blanchard, Les poèmes / Poèmes de Jules Supervielle / Le Théâtre : À propos d’un débat (p. 25-26 / 26-30),
[Les Dits de Belgique]
Charles Conrardy, Iwan Gilkin / Albert Giraud (p. 31-32),
« Nous avons reçu Le Tigre et les Antilopes, par Adolphe Morel ; Croquis parisiens, par Mlle Nora Bilewka ; La Revue de l’Ouest, la Revue Intellectualiste, L’Affranchi, Les 3 Roses, La Rénovation, Études Littéraires, L’Avant-Scène françaises, Les Chants de l’Aube, Los estados Unidos, Tout. »
Note(s) : Paris-Pamiers, Impr gérant : Louis Narbonne
« Cette gazette, nous le voulons, est le témoin des Muses et de Minerve, nous ne saurions décemment y introniser le règne de Mercure ou de Mars… Très tôt notre appétence est de gonfler notre revue et d’en faire une publication digne en tous points, avec des comptes rendus moins cursifs et des notes nombreuses sur le mouvement général de la Pensée Moderne » (p. 2)